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Quel Potentiel maghrébin en Franco-Diversité
face
au N
égationnisme de l'Etat turco-kémaliste ?
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Susciter une réflexion chez les électeurs français de la Société civile
en dehors de la pensée unique banalisant la candidature d'Ankara
- accoutumée et façonnée par des politiciens français ou des bureaucrates de Bruxelles (*)
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Radiographie dans le cadre
de l'Union européenne et de l'Euro-citoyenneté
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  • Analyses historiques en radiographie dans le cadre de l'héritage colonial franco-maghrébin mettant en évidence
    . le pourquoi de la banalisation eurocentriste de la candidature turque à l'UE
    . et sa contradiction profonde noncitoyenne.

  •  Sachant que la candidature marocaine à l'UE n'avait pas été retenue en 1987, au delà
    . du registre des critères économiques
    . des poids demographiques des populations
    . des visées géo-économiques (pétrole azéri, richesses naturelles de l'Asie centrale, etc.)
    . des enjeux géo-stratégiques (Caucase, Kurdistan, Pays arabes)
    du fait que les deux pays sont musulmans, on peut se demander pourquoi y a-t-il un tel deux-poids-deux-mesures eurocentriste qui continue encore aujourd'hui ?


  • Historiquement,
    - le mot "Maghreb" veut dire Occident en arabe
    - relations culturelles médiévales importantes du Maghreb avec l'Europe à travers la Sicile et l'Andalousie (traduction en latin des manuscrits arabes avec ceux étant d'origine grecque)
    - une relation étroite avec la France pendant la période coloniale
    - contribution maghrébine à l'enrichissement de la France pendant cette période
    - le prix du sang dans la Défense et la Libération de la France : Maghrébins Morts pour la France pendant les deux Guerres mondiales
    - contribution au développement de la France par les travailleurs immigrés maghrébins après les indépendances

  • Littérature maghrébine francophone.

  • (*) deux exemples : Alain Juppé - Michel Rocard : l'UE face à la Turquie - "Oui, nous avons besoin de la Turquie en Europe !" par Pierre Moscovici et Pierre Weill
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En quoi une candidature d'Ankara à l'Union européenne
serait-elle préférable ou non
historico-culturellenent et politiquement
à celle du Maroc,
de l'Algérie (qui a pourtant du pétrole) ou de la Tunisie ?

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  • Préférence à une Turquie accréditée comme ayant eu une présence historique ottomane dans les Balkans ? Mais avec en non-dit le devchirmé ottoman, l'impot sur le sang : une institution turquifiant des millions de jeunes garçons et d'adolescentes arrachés à leur famille pendant des siècles.

  • Présentation de l’image d’une Turquie "laïque", "moderne", "à vocation européenne" –tout en occultant les différentes finalités bivalentes non-dites des réformes kémalistes et leurs conséquences contradictoires :
    - écrans de fumée masquant le génocide de 1915,
    - mais aussi cachant et maquillant les mécanismes souterrains déstructurants dans la société turque (la partie visible de ces phénoménes étant les violations des droits de l'Homme reposant sur le socle de l'impunité du génocide de 1915)

  • Banalisation du négationnisme de 1915 : laisser importer légalement un négationnisme d'Etat d'un génocide impuni, encourage sociologiquement discriminations et délinquances, consciemment ou inconsciemment.

  • Nil Agopoff
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à compléter.